Des vins prestigieux pour Tony Soprano, Don Draper et Walter White.

Des vins prestigieux pour Tony Soprano, Don Draper et Walter White.

Si les séries américaines inondent nos petits écrans, nos grands crus y sont fréquemment présents, symboles de raffinement et de prestige.

Pichon Lalande : un vin prestigieux pour Les Soprano

Considérée par de nombreux critiques comme la plus grande série télévisée de tous les temps, Les Soprano  cultivent le pouvoir de fascination qu’exercent les grands crus. La bière et divers alcools sont bien entendu abondamment consommés dans cet univers mafieux, mais le vin est la boisson servie à table, il y est dégusté.

Symbole de prestige, dans l’épisode 9 de la saison 6, après avoir braqué un gang de motards eux-mêmes en train de cambrioler un entrepôt de vin, Tony Soprano et son neveu Christopher Moltisanti se délectent de deux bouteilles de Pichon Lalande 1986.

Lafite Rothschild : un symbole du luxe dans Mad Men

Dans Mad Men, le cadre est plus policé, du moins en apparence, et les grands vins sont toujours là. Au cœur des années 1960, sur Madison Avenue, temple newyorkais de la publicité, les repas d’affaires foisonnent. L’immense qualité esthétique de cette série se prolonge dans le choix des grands crus. L’alcool coule à flots à l’agence Sterling Cooper, beaucoup de vodka, whisky, bourbon et multiples cocktails, mais lorsqu’il s’agit d’impressionner un client ou valoriser un collègue, les vins de prestige deviennent inévitables.

Dans l’épisode 2 de la saison 3, le nouveau directeur financier de l’agence, le britannique Lane Price, invite le talentueux Don Draper et son épouse Betty à dîner et les gratifie d’un superbe Lafite Rothschild 1949.

Pol Roger : la récompense ultime d’un condamné

Retour à la clandestinité avec Breaking Bad, dernière série à rafler les trophées des Emmy Awards. Lorsque Walter White, professeur de chimie sur qualifié atteint d’un cancer du poumon, réalise qu’il semble avoir assuré l’avenir financier de sa famille grâce à la production de méthamphétamine, il déroge à son implacable sens du contrôle et se laisse aller à acquérir une bouteille « à 300 dollars », une cuvée Winston  Churchill 1996 de Pol Roger (épisode 3 de la saison 4).

Auteur : Aurélien Grevet

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